164816

(2011) Philonsorbonne 5.

Les mathématiques chez Musil et Wittgenstein

de la mesure des possibilités à leur invention

Pierre Fasula

pp. 9-21

Il y a une parenté entre Musil et Wittgenstein dans le rôle central qu’ils accordent à la notion de possibilité. Cet article analyse plus précisément le lien essentiel qu’ils instaurent entre cette notion et les mathématiques : en quoi les probabilités peuvent-elles être définies comme une mesure des possibilités ? Quel est notamment le rapport entre définition fréquentiste et définition logique des probabilités ? En quel sens peut-on dire, par ailleurs, que les mathématiques sont un modèle d’invention de nouvelles possibilités ?

Publication details

DOI: 10.4000/philonsorbonne.310

Full citation:

Fasula, P. (2011). Les mathématiques chez Musil et Wittgenstein: de la mesure des possibilités à leur invention. Philonsorbonne 5, pp. 9-21.

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