De l’inconditionnel moral chez Kant et chez Sartre

Juliette Simont

pp. 34-51

Du temps où les commissions du F.N.R.S. étaient des entités assignables et non des panels d’experts internationaux, rémunérés et anonymes, Daniel Giovannangeli était de ceux qui présidaient à ma destinée. Nous nous sommes donc connus par l’intermédiaire de mon dossier. Puis j’ai lu ses livres, j’ai connu le département de philosophie de l’ULg, dont l’ambiance m’enchantait — et je sais qu’il y était pour beaucoup. Un département où existait, où existe une cohésion telle que les étudiants prenaient et prennent la peine de se déplacer en nombre pour une conférence, pour une soutenance de thèse, bref pour des activités ne faisant pas partie de leur cursus obligatoire. Au fil du temps, certains de ces étudiants sont devenus non seulement des collègues, mais aussi de proches collaborateurs, comme pendant longtemps Benoît Denis, et maintenant Grégory Cormann, Florence Caeymaex.

Publication details

Full citation:

Simont, J. (2014). De l’inconditionnel moral chez Kant et chez Sartre. Bulletin d'Analyse Phénoménologique 10 (11), pp. 34-51.

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